Hot Chili, a souligné que le marché du cuivre lui est faorable actuellement, il est considéré comme étant le métal ayant la meilleure performance au cours des 12 derniers mois. Il a atteint son prix le plus élevé en neuf ans, grâce à la relance économique et à l'importance des technologies vertes.

Ainsi, le Chili, avec l'Australie et le Canada, jouissent d'une réputation reconnue en tant que juridiction favorable à l'activité minière.

En ce qui concerne les petites sociétés d’exploration minière, elles apportent des capitaux étrangers au Chili, ledit capital-risque, car leur succès ou leur perte sera déterminé presque exclusivement par le fait géologique de trouver ou de ne pas trouver des ressources minières économiques.

Les petites sociétés d’exploration minière ne produisent pas de cuivre. Il s’agit plutôt d’investissements en exploration pendant une période de 15 à 25 ans en moyenne. Pendant ce temps, une société de cette taille peut amener près de 180 millions USD et employer environ 70 personnes, pour la plupart des jeunes, avec de bons salaires qui reçoivent une formation et une spécialisation.

Selon José Ignacio Silva, country manager de Hot Chili : « durant ces 15 ou 25 ans d’exploration et de développement de la mine, la quasi-totalité des ressources entrées comme capital-risque resteront au Chili, en tant que géologues, ingénieurs, techniciens, assistants, dans des sociétés de forage, dans l'alimentation, le transport, toute la chaîne qui consiste à faire réaliser des études géologiques par des travailleurs sur le territoire national ».

Les sociétés minières dites « junior » sont à la base de l'inventaire national des ressources minières, car l’exploitation minière commence par l’exploration dans un sol donné sans étude.

Les petites sociétés d’exploration minière sont donc la base de la préparation de l'inventaire minier du Chili.

A ce titre la Société HOT CHILI développe le projet Cortadera situé dans la région d’Atacama à 50 km du Puerto Las Losas.

Source : Mineria chilena, 26/05/2021