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Les circonstances actuelles ont montré que les technologies de l'information ont un impact transversal sur notre société et notre économie. Reconnaissant ce rôle fondamental, l'Association mexicaine de l'industrie des technologies de l'information (AMITI) entreprend la tâche d'analyser son impact sur l'Accord de libre-échange entre le Canada, les États-Unis et le Mexique (T-MEC) entré en vigueur le 1er juillet 2020.
Les représentants des sociétés privées au Mexique, qui font partie de l’AMITI (IBM de Mexico, CMP, Detecno, Microsoft, SAP et le cabinet d’avocats Tavares & Tavares Law Firm), ont rédigé un rapport appelé “T-MEC Avanzando Juntos”, ayant pour objectif de proposer une utilisation claire des technologies de l’information au sein de nombreux secteurs.
Sur les 34 chapitres que comprend le T-MEC, le rapport se concentre sur les dix chapitres dans lesquels les technologies de l'information ont un plus grand impact : agriculture, administration des douanes et facilitation des échanges, marchés publics, services financiers, commerce numérique, propriété intellectuelle, petites et moyennes entreprises, compétitivité, lutte contre la corruption et bonnes pratiques réglementaires.
D’après le directeur général de l’AMITI, Monsieur Javier Allard, « le Mexique a devant lui un énorme potentiel à exploiter, non seulement en raison de sa situation géographique, mais aussi et surtout en raison du niveau de maturité de ses talents et de ses entreprises. Notre pays doit commencer par mettre en place les mécanismes requis par le Traité, tels que les comités internes et tripartites indiqués dans l'instrument. Il doit également progresser dans la conception et la mise au point d'une série de législations dérivées, qui nécessitent la participation de tous les acteurs concernés : associations, universités, gouvernements et, sans aucun doute, conseillers technologiques ».
Source : Communiqué AMITI, 15/04/21