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Si le commerce en ligne n’est pas spécifiquement cité dans l’étude de l’ONS, celle-ci suggère que quatre entreprises britanniques sur dix, qui commercent habituellement à l’international, ont fait face à des difficultés liées aux nouvelles charges administratives. Au niveau des freins à l’importation, les nouveaux coûts de transport sont cités par 42% des entreprises et les frais de douanes par 34% d’entre elles.
Les retailers britanniques, bien qu’accueillant positivement l’accord passé entre le Royaume-Uni et l’UE, prennent en compte les coûts supplémentaires que le Brexit devraient faire peser sur leurs activités en 2021. Le spécialiste de la mode haut de gamme Ted Baker les a estimé à 5 M GBP ; le pure player du e-commerce de l’habillement Asos les a évalué à 15 M GBP, principalement en raison des droits de douane résultant de la règle d’origine.
Source : Internet Retailing, Chloe Rigby, 12 mars 2021