Ils comprennent des infrastructures liées au tourisme (hôtellerie, nautisme, loisirs), mais également  à la santé, au transport et à l’éducation.

Un des principaux objectifs est d'améliorer la gestion des eaux usées,  du  trafic routier et également des catastrophes naturelles (inondations). Une partie de ces investissements est réalisée par la municipalité métropolitaine de Mugla  dont dépend Bodrum et par le ministère de la culture et du tourisme mais la majorité seront financés par des partenariats avec le secteur privé, y compris des entreprises internationales, comme celui pour la gestion de la route de Yalikavak (péninsule de Bodrum).

Le secteur du tourisme est la source de revenus la plus importante pour Bodrum, qui jouit d’un patrimoine historique (sites antiques), culinaire et naturel (Mer Egée) qui lui permet de toucher une grande variété de touristes mais qu’il convient également de valoriser. La municipalité de Bodrum prévoit une augmentation du nombre des touristes, de 1,5 millions  à 2,5 millions, pour des revenus de 5 Mds USD en diversifiant les activités proposées autour de la gastronomie, de la culture, de la santé, des congrès mais surtout du sport. En effet, des investissements importants sont prévus dans les activités de sport nautique et de golf. L’ouverture de 10 musées d’ici 3 ans est également prévue. L’expertise française en matière de valorisation touristique est importante à faire valoir au sein de ces grands projets.

Source : 05/02/2021, Dünya